Les 11 rosiers les plus simples du jardin !

1/11
Le charme discret des Pimprenelle
Comme beaucoup de Rosa pimpinellifolia, les fleurs de R. hugnos sont jaunes, très précoces (dès avril), suivies de fruits noirs. Leurs autres atouts sont de belles épines et un feuillage fin et découpé.
Le + : Des couleurs automnales dorées.
2/11
» Rambling Rector « , intrépide acrobate
Voici un de ces rosiers lianes, dits Ramblers, à la vigueur incontrôlable, qui masquent un mur ou partent à l'assaut des vieux arbrres en 2 ou 3 ans. Hybrides de R. Mutiflora, de R. Filipes ou de R. Heleneae, ils fleurissent en cascade de mai à juillet selon les variétés (Rambling rector est au top fin mai). Ils donnent des fruits mais portent des épines peu conviviales quand il s'agit de les tailler !
Le + : Peu sensible aux maladies.
3/11
» Ghislaine de Féligonde « , valeur sûre
Est-elle jaune, rose, saumon ou blanche ? Cela dépend de la saison, de l'exposition, du sol. Pourtant " Ghislaine de Féligonde " se reconnait entre mille avec ses bouquets de fleurs multiformes toujours bien dessinées, ses feuilles composées et pointues, ses tiges souples. Il porte des fleurs de mai aux gelées sauf quand il a soif.
Le + : Se multiplie facilement par bouture.
4/11
» Sourire d’orchidée » aux qualités modernes
Simple mais pas trop, fortement teintée sur le bouton pointu presque blanche en fanant, cette rose au cœur en or et au parfum léger résiste à la pluie et au soleil et refleurit jusqu'au gelées. Peu sensible aux maladies, docile à toutes les formes de taille, cette obtention relativement jeune médaillée en 1985, s'est imposée parmi les classiques.
Le + : Se marie bien avec des roses plus lourdes et éphémères.
5/11
Les Banks, comme des jasmins
Aucun jardin méditérranéen ne saurait se passer d'un rosier de Banks ! Précoce de floraison, dès avril, parfumé et sans épines, cette espèce chinoise n'a qu'un défaut; sa faible rusticité. Son feuillage fin et ses fleurs miniatures, jaunes voir blanches et très parfumées, évoquent un jasmin. Vue leur longueur (8m et plus), il faudra conduire ses tiges sur des supports solides.
Le + : Jamais malade, supporte la sécheresse du Midi, à mi-ombre.
6/11
Le ravissant » Phyllis Bide «
Unique par la couleur de ses bouquets de roses frisottées mélange de carmin et d'abricot qui palissent en vieillissant, il se fait arbuste ou grimpant selon le support et le sol. Un milieu frais, riche et bien arrosé, favorise la pousse et une floraison remontante faible. " Phyllis Bide " fait partie de ces rosiers anciens qui n'ont jamais eu de vrai concurrent. Il est issu de " Perle d'or " variété jaune proche de Cécile Brunner, autre indétrônable à tiges sans épines et à petites roses parfumées, très remontantes. ces deux derniers existent en version miniature et en grimpant très vigoureux.
7/11
La longue floraison de Rosa Mutabilis
Seul le froid arrête ses floraisons quasi perpétuelles. Leurs couleurs multiples, de l'ocre au rose vif, se marient au pourpre des pousses et des tiges fines qui ne sont frêles qu'en apparence. Plus rustique que le type, cette mutation de Rosa sinensis s'impose partout en situation chaude et bien drainée.
Le + : Très bonne adaptation à différent milieux.
8/11
Précurseur des générations actuelles
Né à l'aube des années 80 chez l'obtenteur belge Louis Lens, repéré par tous les jurys, " Rush " réunit toutes les qualités requises pour les espaces contemporains : croissance rapide, ordonnée, floraison continue, indemne de maladies et sans exigence de taille. Ce descendant de Ballerina, hybridé avec R. multiflora, a été rattrapé par les gammes de rosiers paysage crées depuis, mais il n'est pas dépassé pour autant !
Le + : La légèreté de sa floraison sur un buisson bien dense.
9/11
Inoubliable » Blanc double de Coubert «

Sur son feuillage sombre et gaufré, ses fleurs pures semblent de neige et qu'importe si les pétales froissés résistent mal aux intempéries, puisqu'il en vient toujours de nouvelles. Cultivé depuis le XIXe siècle, cette hybride de R. Rugosa a toutes les qualités du genre.
Le + : Le parfum prononcé de R. Rugosa.
10/11
L’excellence avec » Marguerite Hilling «
Ses fleurs simples, dès le début mai, reviennent de façon dispersée en cours de saison. Son feuillage couvre la totalité des tiges presque dépourvues d'épines. Leur arcure naturelle forme un dôme sans autre taille qu'un nettoyage du bois mort. Comme " Nevada " son double à fleurs blanches, " Margueritte Hilling " est un bel arbuste de haie, mais une plantation isolée magnifie sa stature ample.
Le + : Un rosier libre qui demeure même sans soins.
11/11
» Pénélope » et les hybrides musqués
Il appartient à la lignée des R. Moschata comme " Cornélia ", " Félicia ", " Queen of the musk ", apparus en Angleterre au début du XXe siècle. Ces arbustes parfumées à fleurs semi-doubles aux couleurs délicates, sont très remontants et rustiques : des qualités difficiles à réunir à l'époque. Ils se sont adaptés à nos climats, au Nord comme au Sud, et beaucoup ont perduré sans soins dans les vieux jardins.
Le + : De la souplesse et de la grâce en toutes situations.

La plus sophistiquée des fleurs fait son retour au naturel avec les rosiers botaniques. À vous les fleurs d’églantines, les pompons légers, les arbustes lianes ou ronces…

Les 11 rosiers les plus simples du jardin !

VOUS ALLEZ AIMER